Pizza? ouiche lorraine? yaourt au miel?
Cher lecteur, c'est le vendredi soir du désarroi
(qui ne durera sûrement que jusqu'à demain matin). Et non, je n'ai pas
de "date" comme me le demandait ce petit jeune homme du bureau -qui va devoir comprendre que même s'il est gentil, je n'ai pas l'intention de lui montrer ma culotte. Et j'ai super mal à la mâchoire, je crois qu'elle est tordue.
Bon,
je passe sur l'heure de réveil tardive, de toute façon y avait personne
au bureau et j'ai quand même presque fait mes heures. Je suis juste
entre l'euphorie d'un projet professionnel qui finit par se dessiner
devant moi, que dis-je! se graver dans la pierre où il n'était que
griffonné sur le sable auparavant! (nan, c'est rien, je lis juste un autre Dumas...) et le découragement devant plein de petites merdes qui me pourrissent mes journées
quelques contrariétés qui ne sont que passagères, au premier rang
desquels se trouve le Dieu argent, dont je ne suis définitivement pas
la fille (d't'façon, on est tous des fils d'Abraham hein, même si mon père s'appelle Roger et qu'il est barman à chats). Que de références littéraires sur ce blog! C'est festival!
Bref. J'ai passé une partie de la nuit à faire des budgets jusqu'à août 2009 et ça devrait tenir en restant pauvre
raisonnable. Sauf que me parvient juste avant de quitter le bureau une
nouvelle qui me prive d'une source de revenus sur laquelle je comptais
bien (au-delà du fait que c'était un projet de la mort et qu'on est en
train de le changer de A à Z. C'est pas grave hein, j'aime bien passer
des semaines sur un projet pour rien. Du coup ce sera sans moi hein, bande de cons).
Allez moussaillon, remonte en selle