Bussy est mort, vive Bussy
Bon alors les notes des éditeurs (comme si leur putain de 4ème de couv' ne suffisaient pas)
m'irritent outre-mesure. J'aurai pu suivre le combat acharné du beau
Bussy, haletante, le soutenir de mes prières et ben naaaaaan, tu lis la
note comme une conne, en plus la note qui arrive en début de chapitre
putain! et la note te dit que Dumas fait une Nème entorse à la
chronologie, puisque Bussy s'est fait assassiner un an plus tard en
réalité. Ben voyoooons, mais faut pas se gêner de niquer tout un
chapitre en nous disant qu'il va crever, comme si on s'y attendait pas
que leur amour était impossible à ces deux couillons fleurs bleues (oui, j'en fais un nom, ça te dérange?),
nan, nan, il vaut mieux le dire dès le début, comme ça on s'épargne de
vibrer aux sons des lames qui se croisent! On ne pleure pas quand Rémy,
le bon Rémy, son ami et fidèle médecin, dans un dernier souffle de vie,
lui tend l'épée salvatrice, elle va paaaaas te sauver l'épée, t'es déjà
mort, c'est marqué page 985!
Ahem.
Comme je n'ai pas grand
chose à raconter mais qu'il faut bien écrire quelque chose puisque 1 je
pars demain jusqu'à dimanche 2 Chéri arrive deux jours plus tard 3 j'ai
pas l'intention de glander sur le net quand il sera là, je vous
parlerai de ma première leçon de polonais: je mets le disque à 21h40.
Je dors à 22h. Revanche ce soir.
Et j'ai dit à
Mickey (ouais, lui aussi a un surnom) que j'avais un namoureux et qu'il
fallait arrêter de me demander si j'avais un rencard ce soir ou si je
portais des slips ou des caleçons. Ok, ça je l'ai pas dit en vrai. Lui
non plus d'ailleurs.